Cavale dans le laboratoire

Contexte de base :

Dans un laboratoire, divers animaux venant des quatre coins du monde sont enfermés. Des scientifiques font sur eux, des expériences qui peuvent être des plus normales comme les plus inhumaines. Pour y échapper, les animaux s'enfuient par tous les moyens qui sont à leur disposition.
Pyphilia, un jeune puma venant d'Amerique du Sud, a reçu les clefs de sa cage de la part d'un scientifique bourré. Grâce à lui, il s'enfuit, ouvrant chaque cage qu'il croise sur son chemin vers la sortie. Mais Lumina et ses compères scientifiques, étant cette fois de garde, s'aperçoivent vite du remue-ménage et font eux aussi leur possible pour ramettre les créatures dans leurs cages respectives.

Lancement :

Pyphilia, petit puma, cavale à l'intérieur du laboratoire et ouvre un maximum de cage. Derrière lui, les scientifiques de garde se démènent pour remettre les animaux dans leurs cages.
Lumina est une scientifique qui court après les animaux libérés.
Greenak est un canard
Elyk est un petit louveteau.

PS : Vous pouvez prendre n'importe quel animal existant, mais il faut que celui-ci ne soit pas trop grand. L'éléphant ou la girafe sont interdits, mais le rat ou la tortue vont très bien. Prenez aussi les scientiques, être en cavale sans être poursuivit, c'est pas très drôle.

Participants et ordre de tour :

Pyphilia - Elyk - Greenak - Lumina - + ???

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Je ne savais pas pourquoi, mais cet être bipède m'avait donné les clef de ma cage. Je n'allais pas me plaindre, évidemment que non, mais je trouvais cela très étrange. Depuis quand on enfermait des gens pour ensuite leur donner les clefs ? Enfin bon, les humains, cela n'avait jamais été intelligent. Je regardai donc l'être s'en aller en rigolant comme un bobet. Vraiment stupide ces êtres. Je regardai maintenant à travers la vitre qui se trouvait derrière moi. Il y faisait noir, très noir mais avec plusieurs sources de lumières artificiels. C'était le moment de changement du personnel.
Il se trouvait, que moi, j'était là il n'y avait pas très longtemps, du moins pas aussi longtemps que certains autres animaux. Ceux-ci avaient subis plusieurs mauvais traitements, dont certains ayant été fatals. Et j'avais deviné que mon tour allait pas tarder à arriver, j'étais trop intelligent pour ne pas l'avoir remarqué. Sauf si, sauf si je partais d'abord. Ha ha ! Et ce stupide bipède ma donné ce qui me manquait. Il fallait que je mette mon plan à execution.

Lentement, je pris l'objet métallique dans la g**ul* et l'inséra dans la serrure. Doucement, je la fis tourner, et un "clic" se fit entendre. Je poussai le battant qui s'ouvrit dans un léger grincement. Et voilà. Rien de plus facile. J'avais déjà vu les humains faire ça maintes fois. Je sortis de ma cellule et repris les clefs. Maintenant, au tour des autres croutons. Penard, je me baladai de cage en cage, ouvrant chacune leur porte. Plusieurs animaux apeurés en sortirent, mais la plupart restaient blottis à l'intérieur. Bandes de trouillards ! Vous voyez pas que c'est le bon moment pour détaler ? Restez pas dans votre prison, la porte est grande ouverte, venez ! J'eux beau m'égossillé, ils ne bougèrent pas d'un pouce. Franchement, il n'y avait pas que les humains qui étaient stupides. Je continuai tout de même mon manège, oubliant que des humains m'entendaient et pouvaient arriver à tout moment...

Un humain au nez rouge arriva et donna les clefs à un puma, il partit en poussant des "hic" frénétiques mais un autre bruit se fit entendre, un clic, comme quand on ouvre une cage. Je me retournai et vis le puma sortir de sa cage, je sortit un jappement effrayé pour essayer de le faire revenir dans sa cage mais il ne commença à ouvrir les autres cages et a hurler. Je hurlai pour faire taire les animaux mais ils crièrent de plus belle, une cacophonie pareil ferait venir les humains!
Je sortit de ma cage et attrapa la queue du puma pour le faire revenir dans sa cage, mais âgé de 10mois, la force n'était pas au rendez-vous. J'entendis des pas dans le couloir noir, de la lumière arrivait vers cette possible sorti, la lumière arrivait de plus belle et les cage luisait d'un halo bleu, le sol ressemblait à des carreaux taillés grossièrement dans des roches. Les échos de pas résonnaient à présent dans la salle où étaient ma cage et celle des autres animaux et ceux-ci se turent tandis que la lumière devenait presque aveuglante même quand on regardait autre part. Par sécurité, je décidais de rentrer dans ma cage et dit au puma a qui je tenais toujours la queue de faire pareil.