Ouvrages de Deymothy

L’ »Amour », quelque chose d’indéfinissable. Pourtant, il se caractérise par trois sentiments…

Le vrai Amour rose et pure, la douloureuse passion rouge et emplie de tristesse et la haine noire et cruelle…Tout trois séparés par des fragiles fils. L’Amour est heureux, la passion meurtrière et la singulière haine.

Cette adolescente, Amélia, en couple avec « l’homme de sa vie », tout est rose, ils s’aiment et se jurent fidélité pour la vie. Echanges de baisers et tendresse sont omniprésent. Toujours, ils seront heureux.

Six mois, six mois qu’Amélia a rompu…Enfin, plutôt dire que c’est l’homme de sa vie qui l’a fait..
Ils savent qu’ils ne pourront être ensemble pour la vie…Amélia, elle, l’aime toujours…
Elle rêve de lui, elle rêve d’être auprès de lui, de le serrer dans ses bras…Mais ce n’est qu’un rêve…
La jeune fille revoit l’homme et lui demande de donner une chance à leur couple…C’est impossible pourtant. Il n’y a qu’une solution…
Amélia rentre chez elle dans sa robe blanche d’épouse, tachée de sang, un couteau à la main…

Quelques semaines plus tard, elle pleure, pleure sans arrêt ; elle a le dégout et l’écœurement d’une personne : elle-même…Et maintenant, la voilà qu’elle saute…

Voilà comment le doux amour peut se transformer soudainement en véritable haine…

- Commentaire de Clément T.L

Les mauvais point :
D'abord, la longeur. Quantité n'est point gage de qualités, mais sa reste trop cour. Trop cour pour définir tes personnage, mettre en place une véritable intrigue.
Ensuite, le sujet. Vu et revu, mais sa reste intéressant.
Les détails ?! Il n'y en a pas. C'est comme si tes personnages n'avaient aucune consistance, rien qui ne les démarquent des autres. C'est trop peu, même pour banalisé l'histoire.
Enfin, le vocabulaire. Il semble pas y avoir de choix préçis : un vocabulaire peu soutenu ce justifiraient plus par exemple, après tout, c'est un drame adolescent.

Les bon points :
D'abord, le dénouement. C'est originale, sa me plait.
Ensuite, la forme : les phrases en italiques apportent a mon avis quelque chose, même si pour moi c'est encore assez peu développé.
Enfin, le coté un peu flou : pour moi, sa s'attache a un certaine banalisation, a un évènement parmis tant d'autre.
Ludiquement,
Clém'

-Commentaire de Fredouille M.

Bon j'me lance. Je préviens, je suis une littéraire, je suis une critique trèèèèèèèès dure.
J'ai beaucoup de points noirs, un peu comme Ted. La longueur ne me gêne pas, par contre, le format de la nouvelle peut faire deux lignes à 50 pages.

Citation:
C'est comme si tes personnages n'avaient aucune consistance, rien qui ne les démarquent des autres. C'est trop peu, même pour banalisé l'histoire.

Pas forcément. Un personnage sans consistance peut être une bonne méthode pour montrer que ça concerne tout le monde. Je développe rarement mes personnages dans mes nouvelles personellement, et on s'y attache pas moins de ce que je sais =p Le problème ici, c'est le nom. Donner un nom à un personnage appelle une consistance, s'en passer aurait peut-être été plus judicieux =P
Je n'ai trouvé ni le thème ni le dénouement originaux. Vu, revu, classique, sans aucune démarcation.
Les phrases en italique n'ont pas vraiment d'utilité, selon moi. Des commentaires? Une morale? Une variante de l'épanadiplose? Mouerf, elles font un peu tache...
Le côté court me chagrine un peu néanmoins, par rapport au thème. Ça aurait pu être intéressant de vraiment développer les sentiments, la relation, et la rupture. Exploiter ce côté aurait rendu les personnages plus attachants, et donc la fin plus poignante, plus frappante.

Pour moi - c'est toujours un avis - le vague que tu as apparemment voulu entretenir ne va pas avec le thème. Du moins pas comme ça, il a été mal utilisé.
Enfin, je trouve dommage que tu aies mis des pseudo-envolées lyriques, très lourdes, avec des accumulations d'adjectifs. C'est lourd, et c'est pas raccord avec le reste, dans un style plus simple, voire même trop simple, qui tient plus du registre oral que du registre écrit. Et une de tes phrases (elle a le dégout et l’écœurement d’une personne : elle-même…) est carrément bancale... Ta ponctuation aussi... Les points suspensions à chaque fin de phrase, c'pas top =/

Maintenant les points positifs \o/ Car il y en a !
Comme je disais, l'idée du vague pour banalisation du tout, j'aime beaucoup ; je sais pas si c'était ton intention, mais c'est l'impression que j'en ai. L'idée bien que peu originale peut être traitée de manière originale. Je suis sûre que tu aurais pu =)
On sent que tu n'as pas beaucoup écrit jusqu'ici, tu as un style assez approximatif, qui se cherche encore.
Tu traites les trois sentiments qui découlent de l'amour l'un après l'autre, distinctement... Bon point \o/ Bonne idée ! Bien que pas assez approfondi, une fois encore x)

Finalement j'tai plus critiqué en mal qu'autre chose =/ Désolée, mon côté de rat de biblitohèque qui refait surface v_v
Personnellement, je t'encourage à continuer à écrire ! Ton style se cherche encore, il faut que tu l'entretiennes pour qu'il progresse ! Je suis sûre que tu pourras faire des trucs superbes et sans maladresses d'ici quelques temps =P

Course poursuite. Des personnes sur le trottoir se font « accidentellement » bousculées par un individu distancé par un second. Le premier court, le suivant, marche. Ils savent tout deux qu’à la fin, ils se rencontreront, peu importe les moyens utilisés. La nuit tombait et le reflet de la lune apparaissait à travers le fleuve de la ville…Il fallait en finir, c’était trop douloureux. Il a beau courir, il se fera rattraper. A quoi bon fuir ? Espérer alors une plus longue durée de vie. Cela en valait point la peine. A l’arrivée, il n’allait rien gagner. Ce n’est pas comme si l’individu allait trouver une peau de chagrin…Il demeurait perdu. Le temps s’écoulait mais le cercle ne s’arrêtait jamais…
Cinq minutes. C’était d’ores et déjà le temps qu’il restait. Une ombre noire surplombait la sombre et hostile ruelle qui donnait sur une impasse. Il allait enfin être coincé ! Enfin ! Depuis le temps que cette histoire traînait…Le Destin avait donc décidé un singulier et agréable hasard. L’agresseur venait juste d’y entrer, d’un air paniqué, il avait commis une désastreuse erreur. Maintenant, il avait deviné qu’il ne s’en sortirait pas libre. Derrière lui, s’avançait, un autre homme. La rencontre était-elle la conséquence d’illicites affaires ? On pouvait voir un sourire cynique à travers le visage du dernier arrivé. Lui, semblait fort face à quelqu’un qui l’avait été. Du point de vue de celui qui faisait face au meurtrier, c’était un jeu tandis que pour l’assassin, cela en était point un !

« Je t’avais prévenu, mais tu n’en fais qu’à ta tête. Pourquoi ne pas l’avoir laissé tranquille ? »

Il n’en dit point plus. Le meurtrier, apeuré, ne pouvait plus rien faire…S’il répondit, c’était le coup de pistolet assuré en plein cœur. Alors que le commandant avait l’arme en main, prêt à tirer sur le tueur, endossant maintenant le rôle de victime. Qu’est ce qu’il en avait à faire maintenant qu’il avait le droit de tirer ou non, selon les conventions. Sa proie qui lui avait fait tellement de mal et resté impuni dans ce temps. Que Justice soit faite ! La victime de cette affaire demeurait décédée depuis le début, c’était au tour de l’agresseur. Braquant l’arme sur la tête de l’apeuré, il appuya sur la détente et la balle sortit du pistolet. Quel sublime spectacle sanglant ! On en raffolait et on en redemandait telle une foule en délire. Voici que la première touche la tête et que la deuxième s’avance en direction du cœur. Le sang commence à couler. Il semble mort et n’a aucune chance de survie. Or, au final, le policier avait-il bien réussi son coup ?
Tout remonte au temps de l’amour…L’Amour véritable et passionné que deux jeunes gens entreprennent. C’est là que tout a commencé. Que lorsque quelqu’un a envie de se mêler de ce qui à priori ne le regardait pas…L’Amour et L’Amitié sont pourtant deux sentiments positifs mais parfois, ils peuvent se révéler destructeurs. Par conséquent, deux jeunes hommes, collègues de travails tombaient tout deux sous le charme de la même femme. Lorsqu’elle s’apprêta à en choisir un, l’autre finissait jaloux…Il fallait bien s’y attendre que deux jours plus tard, une victime apparaisse…

...

« Je vous propose ma nouvelle dans laquelle j’ai d’ores et déjà rédigé l’incipit avec une entrée in médias res et l’analepse explicative. Vous pourrez remarquer l’ambiguïté de mon incipit qui, j’en suis sûr, suscitera votre intérêt et vous fournira l’envie de publier mon œuvre intégrale. Tout au fil de la lecture, le lecteur sera surpris des nombreuses pistes que cette nouvelle développe. On ne sait déjà, point qui est lié à son identité, puis, dans quel contexte, on se situe. Aux premiers abords, le lecteur peut penser que l’histoire n’est qu’en réalité le reflet d’une singulière affaire policière mais, cela est plus tortueux. C’est alors que l’analepse envoie vers une autre piste, celle de l’Amitié lié à l’Amour. Le lecteur ne sait point quel est le lien entre ces deux intrigues et pourtant, en détail, un s’y trouve, celui de la victime. Les trois personnages sont en réalité tous liés personnellement. Et l’incipit fait preuve du contraire, du contexte professionnel. C’est pourquoi des phrases comme « Ne jamais mélanger le privé et le personnel ! » ou encore « Ne pas faire justice soi-même » prennent tout leurs sens dans cette nouvelle.

Mes sincères salutations…